Température et vie :
Quand on recherche si un astre peut héberger une forme de Vie, la première question que l’on se pose est : y a-t-il de l’eau liquide sur cet astre ?
En effet, la Vie telle que nous la connaissons, a besoin d’eau liquide.
En dessous de zéro degré Celsius, l’eau gèle.
Au-dessus de 100 °C, l’eau entre en ébullition.
La Vie « normale » se situe donc entre 0 °C et 100 °C
Mais méfiez-vous du mot « normale », car on a trouvé de la vie en dessous de 0 °C et de la vie bien au-delà des 100 °C aussi.
La chose à retenir, pour nous, êtres humains, est que nous sommes condamnés à vivre dans une bande étroite, sans tomber dans l’excès du trop froid, ni dans celui du trop chaud.
Il en est de même pour les plantes et les animaux.
Mais, il existe peut-être, dans l’univers, d’autres formes de Vie qui nous sont encore inconnues.
LA CONSERVATION PAR LE FROID :
Il y a des millénaires que les hommes ont remarqué que leurs aliments se conservent mieux dans un endroit froid.
La plus ancienne des techniques consistait à entreposer les denrées dans des grottes froides bien à l’abri du soleil ou dans les caves, dans une époque plus récente.
Et quand il ne faisait pas assez froid, on allait chercher des blocs de glace ou de neige pour prolonger le froid au maximum.
On savait depuis 1748 qu’il était possible de refroidir artificiellement de l’eau et des tentatives furent menées à la fin des années 1850 pour produire de la glace artificielle à une échelle industrielle.
L’étape suivante appartient à mes souvenirs de jeunesse.
Mon père avait installé, dans notre cuisine, une armoire isolée qui comportait un système dans lequel nous mettions tous les deux jours un bloc de glace acheté chez le boucher. Nous ajoutions une poignée de gros sel sur la glace afin de ralentir la fonte. L’eau de la fonte était évacuée par un petit tuyau.
Puis vinrent les premiers réfrigérateurs, dénommés communément « frigos ».
1913 à Chicago, mais seulement 1952 en France.
En 1960, j’ai également connu l’époque où, dans certains villages, la municipalité faisait construire une petite maison contenant un système qui produisait du froid à moins 20 °C. Les habitants pouvaient louer un emplacement pour entreposer leurs denrées.
Ce furent les premiers congélateurs collectifs.
L’étape suivante arriva rapidement.
En 1968, on commercialisa les premiers congélateurs familiaux.
Puis, apparurent les appareils frigo + congélateurs combinés.
En même temps (1968), on ouvrit les premiers magasins de surgelés.
Les surgelés entrèrent rapidement (et je dirais aussi définitivement) dans la vie des ménages.
Aujourd’hui, les surgelés existent non seulement sous forme de denrées, mais sous forme de plats terminés qu’il suffit de réchauffer.
C’est ainsi que les microondes firent une entrée triomphale.
Une récente étude a montré que 98% des ménages utilisent des surgelés.
La fréquence dépend de plusieurs facteurs :
– l’âge des consommateurs et leurs habitudes alimentaires.
– le lieu de résidence campagne ou ville,
– la possession d’un jardin avec potager, verger ,
– le temps consacré à la cuisine,
– la composition de la famille,
– les connaissances culinaires,
– etc.,
CONGÉLATION OU SURGÉLATION ?
Une question de technique et de physique.
Côté physique :
Quand la température baisse LENTEMENT, l’eau contenue dans les denrées forme des aiguilles de glace qui viennent déchirer la structure de tissus cellulaires. Lors de la décongélation, les aliments riches en eau deviennent mous : (fraises, tomates, etc.)
Quand la température baisse TRÈS RAPIDEMENT, les aiguilles deviennent très petites et la modification de la structure est minimale et acceptable.
Malgré tout, il y aura toujours une différence entre les produits frais et les surgelés.
Côté technique :
Certains congélateurs familiaux possèdent un bouton « SUPER » qui coupe le thermostat qui règle le froid. Ces congélateurs descendent donc plus bas que les moins 20 °C.
Le passage de la zone délicate de la formation des aiguilles de glace se fait donc plus rapidement et les aiguilles sont donc plus petites.
Nous sommes dans le domaine familial.
Dans le domaine industriel, les moyens sont bien plus importants. On descend beaucoup plus bas en température. On va flirter avec l’azote liquide qui est à – 196 °C : de quoi attraper un bon refroidissement !
Juste pour le plaisir de savoir :
Il existe une limite au froid, c’est ce que l’on appelle LE ZÉRO ABSOLU.
Il est à – 273,16 °C
On appelle cela le 0° K. (K désigne l’échelle Kelvin)
AU FAIT, C’EST QUOI LA TEMPÉRATURE ?
Toute matière est constituée d’atomes : une invention des Grecs qui se sont amusés à un petit jeu.
Nous allons essayer de couper un « truc » en 2, puis en 2, puis en 2 et ainsi de suite jusqu’au moment où l’on ne peut plus diviser.
Voilà : à ce moment-là, nous serons au niveau des atomes.
Les atomes n’arrêtent pas de s’agiter et plus leur danse est frénétique, plus la température est élevée.
À l’inverse, moins ils dansent, plus il fait froid.
A – 273.16°C. ils ne bougent plus du tout, et la matière a disparu.
REVENONS À NOS GLAÇONS
Vous vous imaginez avec un congélateur à – 196 °C.
Votre compteur d’électricité qui danse la rumba et la salsa en même temps avec une facture à rallonge !
Laissons la surgélation aux industriels et à leurs grosses machines, et contentons-nous de nos congélateurs qui nous rendent bien des services à condition de bien apprendre à les utiliser.
Une bonne idée pour un prochain article.
Petite expérience avec les enfants
Matériel :
– un récipient ( évitez le verre)
– des glaçons
– du gros sel
– un thermomètre.
Expérimentation :
1. Mettez les glaçons dans le récipient.
2. Mesurez la température.
3. Ajoutez une bonne poignée de gros sel sur les glaçons.
4. Regardez votre thermomètre.
Question pour embêter papa.
Si le sel fait baisser la température, alors pourquoi mettre du sel sur les routes verglacées ?
Réponse ICI
Cette photographie empruntée au web, représente une sorbetière à l’ancienne.
Le récipient qui contient la crème que l’on veut faire prendre en glace, est entouré de glaçons sur lesquels on met du gros sel.
Il se produit alors une réaction : la température descend jusqu’à moins 20°C
Il faudra tourner la manivelle afin que la crème refroidisse uniformément et qu’elle ne forme pas de glaçons
.Dans le temps, une glace se méritait !
Vous pouvez utiliser la même technique pour refroidir des bouteilles.Posez-les dans un seau, ajoutez des glaçons et du gros sel.
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Echalotes
Faites les compoter dans un peu de matière grasse.
La garniture aromatique pour parfumer la sauce.
Les cornichons sont taillés en lamelles.
Une tranche de viande fine.
Disposez un morceau de plastique et
Badigeonnez avec de la moutarde : ici à l’ancienne.
Disposez une fine tranche de lard ou de jambon sec.
Etalez une couche d’échalotes compotées
Les 3 premières couches.
Disposez les lamelles de cornichon.
Roulez
Il ne reste plus qu’à ficeler.
Donnez une petite couleur . C’est là que se forme le goût.
Retirez la viande et faites suer la garniture aromatique.
Déglacez avec le vin ou autre liquide de votre choix.
Ajoutez le fonds.
Remettre la viande.
Complétez le niveau et ajoutez les herbes. Ici tiges de persil.
Laissez mijoter le temps qu’il faut.

Filet mignon. Il se conserve bien par congélation ce qui permet de profiter des promotions
Enlevez les petites peaux.
Préparez le mélange moutarde et miel
Filet coupé en 2 ; garnir avec le mélange.
Filecer en rôti
Badigeonnez avec miel et moutarde
laissez cuire doucement.
déglacer : vin ou crème selon votre choix.
laissez mijoter.
Découpez en biais et servir avec garniture de votre choix.
Oignons blancs doux
Coupez la tête et le pied
Blanchir : eau bouillante
Coupez en deux.
Séparez les couches
Préparez la farce de votre choix.
Farcir
Gruyère râpé.
Four,. puis grill pour finir
Ajoutez le concentré de tomates
Ajouter le jus ou les tomates fraîches
Herbes et assaisonnement
Choisir des pommes à cuire : ICI des Boskoop.
Découpez un chapeau.
Creusez avec une cuiller à pommes parisiennes pour enlever tous les pépins et préparer un espace pour la farce.
Bien mélanger
Jus de citron sans pépins sucre ou édulcorant. 
Ok pour la cuisson.
Pour des raisons d’économie, j’ai cuit mes pommes en même temps qu’un rôti de porc.
Prêtes pour la dégustation.




Vinaigrette avec moutarde, raifort, baies de coriandres, piment
cornichons en rondelles, échalotes.
le reste de paleron caractérisé par l’inclusion de gélatine
taillez en cubes
Assaisonner longtemps à l’avance pour une bonne imprégnation.
Pommes marcaires, salade de viande salade