BLANCS DE POIREAU AU LAIT DE NOIX DE COCO

Voix un recette facile qui plaît beaucoup.

Ingrédients :  pour 2à4 personnes

–  blanc de poireau 500 g.
– 1 petit berlingot de lait de noix de coco soit 100 ml (il existe en 200 ml)
– 1 petit berlingot de crème réelle, soit crème de soja 100 ml
– 50 g de beurre
– sel, poivre, piment d’Espelette facultatif.

PROGRESSION :

– lavez poireau
– prélevez le blanc
– taillez en toutes fines lanières.

– faire fondre le beurre.
– ajoutez le poireau.
– un peu de gros sel.
– chaleur très douce.
– au besoin, ajoutez un peu d’eau et un couvercle
– on enlève le couvercle pour laisser évaporer pour épaissir.

Il faut à tout prix éviter la moindre de coloration, car elle donne un goût de caramel indésirable.

– quand le poireau aura perdu son goût de cru, ajoutez le lait de noix de coco.
_ laissez cuire tout doucement
– ajoutez ensuite la crème
– goûtez et mettre au point l’assaisonnement selon votre goût.

 

Les illustrations photographiques sont soumises à © Jean-Paul Brobeck alias Papy Jipé.

 

Blanc de poireau émincé cuisson à feu doux dans du beurre. Le lait de noix de coco. Terminez avec crème et assaisonnement.

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COMMENTAIRES DU CHEF

Peut se préparer la veille, car supporte bien la régéthermie au micro-ondes.

UTILISATION :

Peut accompagner un poisson
– coquilles Saint-Jacques sautées dans une poêle 30 secondes de chaque côté

Sera mis en lit, dans la partie creuse des huîtres ou des coquilles Saint Jacques.

Recette très facile, pas onéreuse et bien appréciée.

Views: 300

BLANCS DE POIREAU AU LAIT DE NOIX DE COCO

Ingrédients : essai pour 2 à 4 personnes

– 1 blanc de poireau 500 g
– 1 petit berlingot de lait de noix de coco soit 100 ml (il existe en 200 ml)
– 1 petit berlingot de crème réelle, soit crème de soja 100 ml.
– 50 g de beurre
– sel, poivre, piment d’Espelette facultatif.

PROGRESSION :

– lavez poireau.
– prélevez le blanc.
– taillez en toutes fines lanières.

– faire fondre le beurre.
– ajoutez le poireau.
– un peu de gros sel.
– chaleur très douce.
– au besoin, ajoutez un peu d’eau et un couvercle.
– enlève le couvercle pour laisser évaporer pour épaissir.

Il faut à tout prix éviter la moindre de coloration, car elle donne un goût de caramel indésirable.

– quand le poireau aura perdu son goût de cru, ajoutez le lait de noix de coco.
– laissez cuire tout doucement.
– ajoutez ensuite la crème.
– goûtez et mettre au point l’assaisonnement selon votre goût.

COMMENTAIRES DU CHEF

Peut se préparer la veille, car supporte bien la régéthermie au micro-ondes.

UTILISATION :

Peut accompagner un poisson
– coquilles Saint-Jacques sautées dans une poêle 30 secondes de chaque côté
_ Il est possible de garnir le fond bombé d’une coquille Sant Jacques puis de déposer les noix sautées.

Recette facile, peu onéreuse et d’un très bon goût.

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VOLAILLES DE NOEL SOUVENT TROP SECHES

Dans les derniers jours, j’ai souvent été interrogé sur le sujet concernant la cuisson des volailles de Noël.
Il est vrai que la dinde aux marrons est un grand classique. La recette est souvent transposée aux chapons.

Gardons les pieds sur terre. !

La viande de dinde n’est pas particulièrement grasse. Le chapon l’est un peu plus, et les volailles de luxe : les volailles de Bresse sont des haut de gamme, pas toujours accessibles au niveau du prix.

Mal préparée et mal cuite, une volaille a donc beaucoup de chances de finir un peu trop sèche.

Je vous propose d’étudier le problème sous deux angles :

A : la farce.

B : la cuisson.

A : COMMENÇONS PAR LA FARCE.

Analyse du problème.

Il est complexe :

1. La viande est sèche par elle-même. 

Dans le domaine de la viande bovine, on parle de « viande persillée ». C’est une viande qui comprend des inclusions de parties grasses. En cuisant, ce gras va fondre et venir enrichir la volaille.

2. La farce.

Quelle idée de mettre des marrons, fruits secs, dans une dinde déjà sèche. Quand on cherche les ennuis, on finit toujours par les trouver. Il convient donc de composer la farce avec l’idée qu’elle ne participe pas au dessèchement.

LA CUISSON :

Il existe 10 modes de cuisson en cuisine classique. Il convient de choisir, ceux qui ne dessèchent pas ou le moins possible.

La consommation de volaille remonte à des temps immémoriaux. On a donc accumulé au fil des siècles, de l’expérience. Nos anciens n’étaient pas plus ignorants que nous.

PASSONS À LA PRATIQUE :

LA OU LES FARCES :

Les Romains avaient trouvé un truc facile. Ils ajoutaient du fromage frais dans les farces.
Ce fromage possède un taux d’humidité élevé, et vient donc apporter de l’humidité à la farce.
D’un autre côté, il est facile d’utiliser des fruits riches en eau (pomme, poire, etc.)
Il est tout à fait possible, et même agréable d’enrichir la farce avec des fruits secs, comme des figues, à condition toutefois de les réhydrater. Oignons, ail et autres légumes sont des produits qui apportent des goûts et des saveurs.
On peut également rallonger la farce en y incorporant de la viande hachée de volaille et des champignons frais.
N’oubliez pas l’assaisonnement. Voir : petit truc plus bas.

À l’heure actuelle, je préconise :

– des : 2 au kg de volaille
– une pomme ou poire, râpée ou détaillée en petits morceaux.
– oignon et ail ciselés.
– champignons frais.
– selon votre choix, des fruits secs réhydratés : abricots, pruneaux
– fines herbes si vous aimez : l’estragon convient bien.
– anciennement, on ajoutait du pain trempé dans du lait — à l’heure actuelle, je préfère rajouter du lait en poudre qui est un excellent fixateur d’humidité.
– vous pouvez ajouter des œufs 2/kg pour agglomérer la farce.

PROGRESSION :

– vous assaisonnez votre volaille.
– vous la remplissez de farce.
– vous recousez le tout : on dit « brider. »
– c’est terminé !

LA CUISSON :

La cuisson est par définition l’action de la chaleur. Or, la chaleur fait évaporer l’eau : donc elle dessèche.

Sauf bien sûr à jouer les petits malins et à cuire la volaille dans de l’eau.
On parle alors de POCHER la volaille.

Étape N° 1

Préparer un bouillon avec de l’eau parfumée avec :

– carottes
– oignon
– ail
– blanc de poireau
– céleri
– bouquet garni

Enfin, tout ce qui donne du goût et qui vous plaît. (Y compris cannelle, anis étoilé…)

Vous démarrez le tout à froid et vous laissez cuire jusqu’à obtenir un liquide riche en goût.
Ne salez que légèrement.

Laissez refroidir.

Étape N° 2

Le lendemain, vous pochez votre volaille, c’est-à-dire que vous la posez dans le liquide et vous allumez le feu sans vouloir faire de la lessive. Allez-y mollo.
Il faut savoir utiliser les progrès : achetez donc une thermosonde afin de pouvoir mesurer la température à cœur.
Quand vous atteignez 70 °C, vous arrêtez la cuisson.

Étape N° 3

– retirez la volaille de son eau de cuisson.
– posez-la dans un récipient qui va au four.
– préparez un mélange comprenant :

– beurre fondu.
– huile.

– facultativement : moutarde.
– 4 épices.
– miel.

Badigeonner votre volaille à l’aide d’un pinceau.
– enfourner – 180 °C

Refaites plusieurs allers-retours. Nous sommes dans la technique du canard laqué.
Au fur et à mesure des arrosages, la peau commencera à brunir et à devenir croustillante.

COMMENTAIRES DU CHEF

Cette technique de cuisson en plusieurs étapes remonte à un problème religieux.
Il fut un temps où l’on se posait la question de savoir si oui ou non, les animaux avaient une âme.
Si oui, l’âme ne pouvait résider que dans le cœur, donc dans le sang.
Cela a jeté un anathème sur la viande saignante, au point d’ailleurs que les moines sont tombés malades par anémie. Le pape, comme l’eau, a fait une bulle pour dire que ne pouvaient être canonisés ceux qui n’ont jamais mangé de la viande saignante.

Bien sûr les Anglais roulent à gauche et n’ont pas respecté cette bulle. Eux qui étaient de gros mangeurs de viande saignante, se sont mis à la viande bien cuite : dénommée semelle.

En vous livrant cette recette antique, je ne fais que transmettre l’héritage de nos anciens : pas si bêtes que cela !
Si vous voulez servir des marrons, rien ne vous empêche de les cuire à part et de les servir en garniture. Vous ne pourrez pas les accuser, de vous avoir desséché votre volaille.

Allez joyeux Noël. Faites — moi honneur. Rein de vous empêche de faire allusion à un papy qui va sur ss 80 ans et qui continue à donner gratuitement ses recettes sur son site « trucapapy.com. »

PS : Il n’est pas interdit de se « taper la cloche » pour Noël et pour Pâques non plus d’ailleurs.

Le petit truc pour la farce. Il est difficile de trouver le bon assaisonnement de la farce. Pourtant le truc est très simple. Faites une petite boulette de farce et faites-la pocher dans un peu d’eau. Vous aurez ainsi, un truc pour déterminer le bon assaisonnement.

Les illustrations photographiques sont soumises à © Jean-Paul Brobeck alias Papy Jipé.

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TROMPETTES DE LA MORT EN RAGOUT

La trompette de la mort est un champignon que l’on trouve assez facilement dans les forêts. Il apparaîtrait en période automnale. Il existe plusieurs variétés, l’une qui tire sur le brun, l’autre sur le gris et le noir.
Son nom latin : « Craterellus cornucopioides» indique que ce champignon fait partie de la famille des chanterelles.

Les noms vulgaires (on dit vernaculaires) :

– trompettes des morts.

– trompettes de la mort.

– cornes d’abondance.

font référence à la forme, à la couleur et au fait de leur abondance autour de la Toussaint.

C’est un excellent comestible, avec très peu de chance d’être confondu.

Comme tous les champignons, l’apport nutritionnel est relativement faible. Je rappelle pour mémoire que pour manger l’équivalent de 1 kg de viande, il faudrait avaler plus de 60 kg de champignons, toutes sortes confondues.

Les champignons apportent surtout leurs parfums qui viennent enrichir nos plats et nos sauces.

COMMENT PRÉPARER LES TROMPETTES DE LA MORT ?

La forme en corne d’abondance fait que le sable est souvent stocké au fond du pied en forme d’entonnoir.
Il y a donc tout intérêt à couper la base.
Personnellement, je fends le champignon en deux dans le sens de la longueur et je le passe rapidement sous l’eau.
Rappelez — vous : les champignons sont constitués de plus de 85 % d’eau donc pas la peine d’en rajouter.

En aucun cas, ne pas leur donner une leçon de natation ou un bain prolongé.

Mais il fait bien les laver à l’eau courante, car c’est un champignon qui adore les terres sablonneuses.

RECETTE DU RAGOUT DE TROMPETTES DE LA MORT :

La recette est très facile et peut varier selon vos choix.

Ingrédients :

– trompettes de la mort bien propres.
— 1 échalote ciselée.
— 25 g +25 g de beurre.
— assaisonnement : sel poivre.
— herbes selon votre choix.

PROGRESSION :

— bien nettoyer les trompettes.
— les grosses seront fendues.
— ciselez finement l’échalote.

Cuisson :

— une poêle.
— 25 g de beurre.
— faire sauter les trompettes.
— assaisonnez.
— cuisez-les sous un couvercle pendant 5 – 10 minutes.
— ajoutez un peu de sauce (fonds bruns).
— au dernier moment, rajoutez les autres 25 g de beurre.
— facultativement persil haché.

COMMENTAIRES DU CHEF :

Vous pouvez manger le ragoût en tant que tel avec des pâtes ou le servir comme garniture d’une viande.
Certains cuisiniers ajoutent une cuiller de farine (on dit « singer ») pour épaissir le jus du ragoût.

Les trompettes de la mort se sèchent très facilement enfilées sur une ficelle.
Mises dans une terrine ou un pâté, elles jouent les fausses truffes.

Les illustrations photographiques sont soumises à © Jean-Paul Brobeck alias Papy Jipé.

 

A gauche un bolet, à droite, les trompettes de la mort. Trompette variété noire. Coupez le bas du pied. Rincez sans baigner.
Cuire dans un peu de beurre.
Ajoutez les échalotes ciselées.

Ajoutez un peu de fonds brun ou reste de sauce.

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CLAFOUTIS SANS FARINE FAÇON CHRISTIANE 

Présentation :

Un clafoutis est finalement très simple : c’est une préparation qui se compose de deux éléments :
– des fruits
– une pâte : genre pâte à crêpes.

Le tout est cuit dans le four.

L’ennui est que la pâte à crêpe contient de la farine.
Il existe des personnes allergiques à la farine, et d’autres diabétiques qui sont très sensibles à la farine, un sucre lent qui chez certains peut provoquer une élévation de leur taux de glycémie rapide.

Christiane, médecin cardiologue, propose une recette sans farine.

CLAFOUTIS AUX CERISES SANS FARINE :

Ingrédients pour un clafoutis pour 4 personnes :

– 500 g de crises de préférence aigre
– 3 œufs
– 2 yaourts de préférence grecs
– sucre chimique appelé édulcorant. Il en existe en poudre et en liquide.
– vanille en gousse ou en extrait.

PROGRESSION :

– les cerises :

Si elles sont fraîches, il faut les équeuter
Si vous utilisez des cerises congelées, les faire décongeler et égoutter.

La pâte :

– mélangez les œufs, les yaourts, la vanille et le sucre.
– donnez un coup de fouet pour homogénéiser la pâte.
– ajoutez les cerises.

– beurrer légèrement un moule.
– versez la préparation dans le moule
– cuisson dans le four en deux temps

– 10 minutes à 200 °C
– 20 minutes à 180 °C

La pâte doit « coaguler », puis sécher un peu.
Si vous cuisez trop fort ou trop longtemps, la pâte deviendra graineuse, et désagréable.

COMMENTAIRES DU CHEF

Cette recette est réalisable avec de nombreuses sortes de fruit

– Pommes pelées et découpées en tranches
– poires
– quetsches
– mirabelles
– groseilles
– framboises
– cassis
etc….

Les illustrations photographiques sont soumises à ©   Dr Christiane Ameur et Jean-Paul Brobeck alias Papy Jipé.

 

Œufs+ vanilleEdulcorant.
Bien mélangerAjoutez les yaourts.

Ajoutez les cerises
Prêt à cuire Terminé. On peut déguster tiède au froid

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AGNEAU SOURIS MOELLEUSES

La souris d’agneau est ainsi appelée à cause de sa forme qui rappelle une souris. C’est l’extrémité du gigot, donc de la patte arrière. La souris contient un os qui est la prolongation du tibia : on peut donc l’assimiler au jarret.

La souris a longtemps été un morceau que les cuisiniers se réservaient. Maintenant, c’est un morceau très apprécié par les amateurs de viande.

La souris est très riche en muscles fibreux. Il est donc recommandé de la cuire longuement. Une cuisson à basse température donne de très bons résultats.

UN PEU DE TECHNOLOGIE

La cuisson à basse température comprend deux phases.

Phase N° 1

Former une croûte, afin d’enfermer les jus.

Phase N° 2

Cuire aux alentours de 100 °C (certains programmes de four ne permettent pas de régler la température à moins de 100 °C
Pour parfumer la souris, on la pose sur un mélange de légumes dénommé garniture aromatique.

La cuisson à 100 °C dure entre 3 et 4 heures.

Après cuisson, on réserve les souris. On fait caraméliser les légumes de la garniture, on déglace avec un peu de vin, et l’on rajoute du fonds brun de préférence d’agneau.

Vous avez le choix d’utiliser du fond liquide et vous obtiendrez un jus, ou du fonds lié, qui vous donnera une sauce.

COMMENTAIRES DU CHEF

Dans le contexte actuel des prix de l’énergie, il est plus économe de cuire plusieurs souris à la fois. Elles se congèlent facilement en gardant les propriétés organoleptiques.

Vous pouvez utiliser des souris fraîches, mais également des souris congelées, ce qui permet de profiter des promotions, car le prix de la viande varie en fonction du calendrier des fêtes. On me pose souvent la question des fonds. Je ne veux pas faire de la publicité. Je vous encourage donc à chercher dans votre moteur de recherche.

Voir ICI

Recette en forme de pas-à-pas photographique

Les illustrations photographiques sont soumises à ©   Dr Christiane Ameur et Jean-Paul Brobeck alias Papy Jipé.

 

Le tout commence dans une poêle avec un peu d’huile Le but est d’obtenir une belle croûte dorée. Le croûte emprisonne les jus.Les légumes de la garniture aromatique. Posez les souris sur la garniture crue. Sel, poivre, thym, laurier, romarin. Un couvercle et hop ! dans le four. Après cuisson on réservez les souris.

Faire caraméliser les légumes. Déglacer et mouillez .
Fonds d’agneau en granulés. Passez la sauces au chinois. Réchauffez la souris. Ici servie avec ragoût de légumes et trompettes de la morts.

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Rôti de porc à basse température sans salir le four.

Buts de l’article :

Les cuissons sont l’utilisation de la chaleur pour transformer nos denrées en aliments, non seulement agréables à manger, mais aussi riches en nutriments assimilables.
Pour ne prendre qu’un seul exemple, parlons de la pomme de terre. Sans elle, bon nombre de personnes seraient mortes de faim. Or, la pomme de terre nécessite impérativement une cuisson.

L’utilisation de la chaleur est passée par la domestication du feu.
– feu direct.
– feu, via les appareils, au charbon, au gaz, à l’électricité, etc.

Les cuisiniers ont inventé des « modes de cuisson »
Le mot « mode » désigne des techniques :

– cuire dans un liquide : mode POCHER
– cuire dans une grande quantité de matière grasse : mode FRIRE
– cuire dans la chaleur d’un four : mode RÔTIR
Il existe une dizaine de modes de cuisson classiques, plus ceux que l’on invente grâce à l’évolution des connaissances et du matériel.

Toutes ces techniques nécessitent de l’énergie, non seulement pour leur mise en œuvre, mais également pour le nettoyage des appareils. La pyrolyse est particulièrement gourmande en énergie.

Or, vous le savez bien, l’énergie est le point crucial et faible de nos sociétés.
C’est pourquoi il faut essayer de « limiter les dégâts. »

Je vous propose la cuisson d’un rôti de porc de façon à salir le four, le moins possible.

Quelques considérations de technologie culinaire.

Commençons par la viande :

La viande de porc est plus ou moins grasse selon la configuration de l’animal, mais aussi selon le morceau que l’on choisit.
Il est vrai qu’un morceau de filet donnera une viande plus sèche qu’un morceau de collet.

Le choix dépend souvent de considérations à la fois gastronomiques, mais aussi celles de santé.

Nous allons donc parler d’un rôti tiré du filet (non le filet mignon) et  voir comment « ménager la chèvre et le chou ».

Le mode de cuisson :

Cuire c’est soumettre une denrée à la chaleur.
La chaleur est une transmission d’énergie.
L’énergie s’exprime en puissance et en température.

Ce qui nous intéresse c’est l’action de la température.

– elle fait coaguler les protides.
– elle fait caraméliser les glucides.
– elle fait fondre les lipides.

On parle des réactions de Maillard pour désigner les transformations que fait subir la température.

LA JUSTE DOSE :

Exemple :

Vous pouvez vider un tonneau avec un seau ou une cuiller. Il en est de même pour la température.
Vous pouvez chauffer très fort (grosse quantité d’énergie) ou moins fort.

Il apparaît intuitivement que si vous chauffez fortement, la chaleur va agresser la viande. D’un autre côté, si vous ne chauffez pas assez fort, tous les jus vont avoir le temps de s’écouler.

Comment faire ?

La « combine » consiste à cuire en 2 temps

Phase N° 1.

Former une croûte qui emprisonne les jus.
Pour cela il suffit de prendre une poêle avec un mélange beurre + huile, et de faire dorer votre rôti à feu vif.

Phase N° 2.

Vous enfournez dans un four à chaleur plus douce (100 °C ou moins) et vous laissez cuire jusqu’à obtenir la température à cœur que vous désirez.

Voir tableau.

DANS LA PRATIQUE :

Maintenant que vous avez compris le pourquoi, passons à la réalisation.

Cuire la viande c’est bien, mais on peut aussi la parfumer. On parle de garniture aromatique.
D’un autre côté, pour ne pas salir votre four, il est possible de mettre votre viande et sa garniture aromatique dans un sachet supportant la cuisson. Cela vous évitera un nettoyage.

AU TRAVAIL !

– une poêle avec beurre + huile
– chaleur forte pour former une croûte.
– si vous voulez enfermer les jus, évitez de faire des trous en piquant avec une fourchette.
– ne salez pas au départ, car le sel est un anticoagulant.

– préparez la garniture aromatique.

– carotte, oignons, cèleri, queues de persil, bouquet garni, etc.
– il est préférable de tailler la garniture en petits morceaux
– salez et poivrez le rôti.
– mettez-le dans un sac de cuisson, avec la garniture aromatique.

– fermez le sac.
– enfournez.

La cuisson dépend des deux variables temps et température.
Il vaut mieux choisir une température basse et cuire longtemps, si vous voulez ménager votre viande.

LA SAUCE OU LE JUS

Vous avez la possibilité de préparer une sauce ou un jus.

– sortir le contenu du sachet de cuisson.

– réservez la viande.
– versez la garniture dans un récipient.
– faites-la pincer : c’est-à-dire caraméliser.
– déglacez avec eau, vin, jus, etc..
– passez au chinois.
– rectifier l’assaisonnement.
– vous obtenez un jus.

Si vous préférez une sauce :

– idem comme le jus.
– ajoutez du fond lié.

COMMENTAIRES DU CHEF.

Ce sont des techniques facilement réalisables.
L’important est de bien adapter la température.

Selon la durée de cuisson, la température à cœur permet d’obtenir différents résultats, du bleu ou bien cuit, en passant par les stades intermédiaires.
Il existe des thermomètres ou des sondes à des prix pas très chers et qui rendent de très grands services.

Les illustrations photographiques sont soumises à © Jean-Paul Brobeck alias Papy Jipé.

 

Beurre + huile Obtenir une belle croûte truc pour saler mélangez sel et poivre roulez le rôti

enfermez dans un sachet avec la garniture aromatique. fermez et cuire à basse température 100°C ou moins
Résultats avec un roti de porc. Résultats avec un rôti de sanglier.

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