LE CHOU FLEUR ECONOMIQUE ET PEDAGOGIQUE

Présentation des intentions de l’article :

L’alimentation est à la base de la vie. Son rôle est de fournir l’énergie indispensable, mais égaiement, les matériaux d’entretien et de réparation de notre corps.
Si l’alimentation est insuffisante, notre corps nous avertit par le phénomène dénommé : faim.
Dans le cas contraire, il nous récompense par un sentiment de satiété et de plaisir.

L’art culinaire sert à préparer nos aliments :

– en les rendant comestibles (les pommes de terre crues ne se mangent pas)
– en modifiant les textures pour les rendre agréables.
– en augmentant la sensation de plaisir par l’ajout d’assaisonnement (sel, sucre) ou d’épices qui viennent « épicer notre vie »

Il convient bien de faire la différence entre :

– la cuisine de tous les jours.
– la cuisine d’exception.

Quand on se tourne vers l’histoire de l’humanité, il apparaît que la cuisine de tous les jours a surtout été confiée aux femmes et la cuisine d’exception plutôt aux hommes.

Je me garde, bien sûr, de faire une généralisation abusive.

L’histoire nous enseigne aussi que les humains ont toujours eu le souci primordial de se nourrir tous les jours. Ceci a eu pour conséquence la naissance de l’agriculture et de l’élevage et le souci de conservation pour les périodes moins riches, hivernales entre autres.

Tous les événements sortant de l’ordinaire sont des occasions pour la cuisine festive. (exemples : Fêtes : Noël, mariage, etc.) Pour ces moments-là, l’alimentation passe de la notion d’obligation à celle de fête. On ne mange plus les mêmes aliments, ni les mêmes quantités ni dans les mêmes formes.

Ce côté festif a pu prendre de l’ampleur à partir du moment où les besoins élémentaires étaient assurés.

Il reste cependant que la notion de repas de fête est profondément ancrée, et que nombreux sont ceux qui « gardent quelques bonnes bouteilles pour le mariage de leur fille, etc. »

ET POURTANT :

L’histoire montre que l’évolution des humains passe par des périodes qui fluctuent entre abondance et disette : les fameuses années de vaches grasses et de vaches maigres dont parle la bible.

Récemment, le président de la République a dit « terminée l’abondance. »

Ces paroles désignent non seulement les problèmes concernant l’énergie, mais également toutes les techniques qui polluent gravement notre planète.
La sagesse vaudrait donc que nous utilisions nos ressources « à bon escient. »

REVENONS À NOTRE CUISINE :

J’ai été formé à l’école de la cuisine festive, mais mes origines modestes ont fait que j’ai tout d’abord appris à être économe et soucieux du budget quotidien.

Nous allons prendre l’exemple du CHOU FLEUR

En cuisine festive, il existe un potage dénommé : Dubarry (crème au velouté.)
Pour sa réalisation, on n’utilise que des légumes de première qualité. Ces denrées permettent de déguster un potage « haut de gamme. »

Mais un chou-fleur n’est pas fait que de parties nobles, on trouve aussi des feuilles, des trognons, etc.
Ces parties-là permettent également de réaliser un potage certes un peu moins « smart », mais nourrissant, agréable et surtout moins onéreux.

Voilà pourquoi je vous donne l’exemple de l’utilisation d’un produit en jetant, le moins possible. Il me semble que ce n’est que l’application du simple bon sens.

Nul besoin de grandes phrases pour décrire la méthode, c’est pourquoi je vous propose une recette en images :

 

Le chou-fleur brut. La partie arrière moins belle. On récupère les petits bouquets.
Gardez le trognon.
Récupérer la paries feuillueLes tiges seront msi ao compost après avoir été coupées en morceaux. Les feuille seont émincées pour le potage. Le chou-fleur est cut à l’eau Il faut garder l’eau de cuisson.
Beurre et un peu d’huile
faire suer des opinons ou blanc de poireau
Faire suer feuilles, trognonsMouiller avec l’eau de cuisson. Aloutez pommes de terres pour lier le potage

COMMENTAIRES DU CHEF

Comme vous le voyez, on essaie d”‘urilser le maximum, notamment les feuilles et le trognons.
L’eau de cuisson possède un fort go^put de chou)fleur elle est donc la bienvenue.

Pour terminer :

– mixer le potage
– pacsez au chinoix
– finir Ave lait, crème ou en velouté voir ICI

Voir aussi :

– le chou–fleur. ICI
– Crème ou velouté Dubarry

Les illustrations photographiques sont soumises à ©   Dr Christiane Ameur et Jean-Paul Brobeck alias Papy Jipé.

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