OSEILLE ROUGE RED STRIPE

Présentation du produit :

L’oseille est une plante comestible dont on utilise les feuilles pour leur pouvoir et leur saveur un peu acidulés.

L'oseille sauvage :

L’oseille est tout d’abord une plante sauvage – Rumex acetosa – que l’on ramassait dans les terres humides.
Cette plante peut atteindre 50 cm voire plus. Mais la tige est relativement dure et les feuilles ont une texture rude.
Elle possède des vertus diurétiques, mais elle n’est pas toujours bien tolérée.
En effet, chez certaines personnes, elles forment des cristaux d’oxalate dans les reins .
Ce sont l’une des formes des calculs rénaux.

Voir ICI

L’oseille cultivée :

Compte tenu des inconvénients de l’oseille sauvage, on a bien sûr amélioré ses qualités afin de pouvoir la cultiver .
C’est ainsi que sont nées diverses variétés avec des feuilles plus ou moins larges, des feuilles de couleur rouge, et la variété "Red stripe" possède des feuilles vertes avec des tiges et des nervures rouges.

Culture de l’oseille :

On la sème au printemps, en pépinière.
On repique les plants à 20 cm.
L’oseille demande des arrosages réguliers, car plus la terre est sèche, plus son acidité augmente.
Elle supporte le froid à condition d’être protégée.

L’oseille doit être cueillie juste avant son utilisation, car elle fane rapidement

 

L’oseille en cuisine

Il est possible de l’utiliser comme « épinard », à condition de choisir une variété d’oseille pas trop acide.

Personnellement, je me contente de l’utiliser pour réaliser des  sauces qui accompagnent le poisson.

Sauce à l’oseille toute simple.

– éliminez les parties fanées.
– bien laver.
– enlevez au besoin les grosses nervures et les tiges trop épaisses.
– roulez les feuilles en forme de cigare.
– émincez les feuilles en «  chiffonnade ».
– faites suer une échalote ciselée dans du beurre.
– ajoutez une partie de la chiffonnade.
– le reste sera utilisé en décor.
– mouillez avec de la crème.
– assaisonnez.
– éventuellement mixez, mais ce n’est pas obligatoire. Tout dépend du résultat que vous cherchez.
– ajoutez un peu de chiffonnade restante comme décor.

COMMENTAIRES DU CHEF :

Comme dit, attention. Tout le monde ne supporte pas l’oseille.
Enfin cela dépend de quelle oseille on parle car le mot désigne également autre chose !
il existe des gens très accros à l’oseille.

Association intéressante : oseille et jeunes orties pour les sauces.

La sauce est servie surtout en accompagnement de poissons gras. Je pense au saumon.

Illustrations photographiques © Papy Jipé
 

Oseille variété red stripe
Feuilles vertes 
tiges et nervures rouges



feuilles légèrement cloquées de rouge


Sur le dessous une belle nervure rouge


On retrouve la nervure sur le dessus.
Il est possible de la garder en taillant une chiffonade fine

Attention aux calculs

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LA BOURRACHE OFFICINALE 

La bourrache officinale est une plante qui devrait trouver sa place dans tous les jardins.
Sa culture est très facile et couronnée de succès.
Le jardinier peut en tirer une fierté légitime.

Non seulement la plante porte de très belles fleurs, mais de plus ces fleurs sont comestibles et la plante possède en outre des vertus médicinales.

CULTIVER DE LA BOURRACHE :

Cultiver est certainement un grand mot, car une seule plante suffit aux besoins de la famille.
On la sème vers le mois d’avril selon les régions. Il suffit d’enfouir quelques graines dans un « poquet » (comme les haricots)
Elles germent rapidement et la plante grandit jusqu’à atteindre pas loin de 1 mètre de hauteur.N’oubliez pas de mettre un tuteur.
Cette plante porte de très belles fleurs d’un bleu, je dirais presque particulier, mais pour sûr, qui attire le regard.
On note que la bourrache est une plante en symétrie de 5 (nous verrons cela dans un article)

Les tiges sont très poilues.
Les feuilles sont alternes (une à droite, une à gauche, le long d’une tige également poilue.

On dit qu’il ne faut pas tenter d’en semer après le mois de juillet, mais j’ai constaté, comme beaucoup d’autres jardiniers amateurs, que la bourrache se sème elle-même et l’on est surpris de voir se développer une plante de bourrache alors que l’on n’en a pas semée.

Qui sait, elle passera peut-être l’hiver sous forme de graines enfouies dans le sol et renaîtra avec le printemps.
Je n’en sais rien, mais je guetterai.

UTILISATION DE LA BOURRACHE

Je ne suis pas un spécialiste de l’herboristerie.
Je suis tout simplement des habitudes familiales, transmises par les générations.

Les fleurs de bourrache sont comestibles, comme je vous l’ai signalé.
Elles apportent surtout une touche fleurie dans des salades et servent donc à la décoration des plats.

Comme dit, n’étant pas spécialiste je vous renvoie à des articles publiés par des gens plus compétents que moi. Dans ces articles, on cite les vertus médicinales des fleurs, des feuilles et surtout de l’huile que l’on tire de la bourrache. Cette huile est utilisée pour rendre la peau douce.
La bourrache est plutôt prisée dans les pays germaniques. Elle entre dans la composition de la sauce verte ( Grüne Sosse)  confectionnée dans la région de Frankfurt

Pourtant, il y a un article qui me semble être de très bon sens, car il n’oublie pas de signaler que si la bourrache agit sur notre santé, ce n’est pas une raison d’en abuser. Chaque produit qui a une action sur le corps peut devenir dangereux, dès qu’il est pris en excès.
Je vous laisse donc le soin de vous faire votre propre opinion étant donné qu’un auteur signale qu’en fin de compte qu’aucune étude pharmacologique n’a été vraiment menée.

http://www.lesjardinsdalice.ch/2016/08/bourrache-la-plante-qui-rend-heureux.html

https://www.rustica.fr/articles-jardin/bien-etre-naturel-bourrache,137.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bourrache_officinale

Voilà un jardinier qui sème des graines de bon sens.
Merci.

PAPY PHOTOGRAPHE

Je ne vous ai jamais caché que je porte «  plusieurs casquettes » dont celle de professeur de cuisine et une autre de professeur de photographie dans une école de journalisme.

La bourrache est un « modèle » tout trouvé pour le photographe, celui qui est comme je le suis «  dingue de macrophotographies »

Alors avant d’aller me régaler d’une bonne salade agrémentée de bourrache, je n’oublie pas de prendre quelques photographies.

Illustrations photographiques … devinez de qui
© Papy Jipé bien sûr.

 

Chéri tu t’es rasé ce matin ?

 

Le bouton floral

Feuilles alternes sur tige ronde poilue

A l’arrière, les sépales.
On distingue bien la symétrie de 5


Un visiteur et l’on dit que la bourache chasse les nuisibles ???

Une plante qui attire les abeilles (Mellifère)

Prises de vues effectuées avec Canon, objectig macro Sigma 70 mm ( excellent)
Flash à deux têtes
Sensibilité nominale 100 ISO

Mix de lumière du jour et de lumière du flash

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EMINCE DE VOLAILLE AUX AMANDES SAUCE THAÏ

Que voulez-vous, la gamme des notes de musique ne comprend que 8 notes et pourtant, ces seules notes ont permis de créer, presque à l’infini, des morceaux de musique.

Pourquoi en serait-il autrement en cuisine ?

Il est vrai que les denrées sont variées ?
J’ai même essayé de les recenser dans un logiciel d’analyse de tout ce qui se mange et se boit. J’en ai trouvées aux alentours de 300.
On ne va réellement pas très loin !

Nous jouons donc des variations comme Paganini a inventé ses Caprices.
Le même thème avec des sauces différentes.

Pardon maître Paganini !
Excusez-moi, j’ai été violoniste pendant plus de 25 ans, et vous m’avez fait suer avec vos caprices.

Voici donc une variation d’un caprice culinaire :

EMINCE DE VOLAILLE AUX AMANDES  SAUCE THAÏ

Ingrédients pour 4 personnes :

– comptez 4 x 200 g de viande de volaille dans le blanc.
– 50 g de gingembre.
– 50 g de galanga Voir ICI.
– 50 g de curcuma frais ou 2 cas en poudre Voir ICI.
– 1 boîte ½ de lait de noix de coco.
– 150 g de crème épaisse.
– 1 échalote.
– 1 petit piment thaï.Voir ICI
– 200 g d’amandes effilées ( en lamelles)

sel, poivre,

 

PROGRESSION :

Nous commencerons par préparer la sauce thaï.

– épluchez gingembre, curcuma, galanga
– enlever les pépins du piment thaï ; ce sont eux qui concentrent la puissance.
– hachez tous les légumes.
– mettez-les dans une casserole avec un peu d’huile (de sésame ou de l'huile neutre)
– laissez cuire quelques minutes avec tout juste une petite couleur.
– mouillez avec le lait de noix de coco et la crème
– laissez cuire.
– mixer le tout
– passez au chinois pour avoir une sauce bien lisse
– vérifiez et rectifiez l’assaisonnement sil y a lieu.
– réservez au chaud

Pour le piment :

Goûtez
S’il en manque, ajoutez-en un peu
S’il en manque encore…
Notez que le numéro des pompiers est le 18 !

Le poulet :

– taillez-le en lamelles – (émincé)
– dans une poêle bien chaude, avec un peu d’huile, faites-le sauter très rapidement.
– n’ayez pas peur de le sauter de telle façon à ce qu’il semble encore cru.
– réservez-le.

Les amandes :

Toujours dans une poêle, mais moyennement chaude,


– versez les amandes à sec ; pas besoin de matière grasse.
– remuez-les constamment.
– elles vont commencer à brunir.
– arrêtez avant que les pompiers n’arrivent.
– réservez-les sur une assiette.

La finale :

– remettez le poulet dans la poêle.
– ajoutez la sauce.
– laissez mijoter : le poulet va terminer sa cuisson.
– ajoutez les amandes brunies

Goûtez et rectifiez l’assaisonnement à votre goût

 

COMMENTAIRES DU CHEF :

Du poulet, c’est du poulet…
do, ré, mi, fa, sol, la, si, do

Notes de musique et denrées alimentaires, ne sont finalement que des matières premières

C’est dans les mains de l’ouvrier qu’opère la magie, je dirais l’alchimie
Les mains oui, car elles savent.
Les mains oui, car elles œuvrent.

 

Mais les mains seules ?
Laissez-moi douter.
Il faut pour les diriger, un esprit
Un esprit oui, mais surtout un cœur.

Illustrations photographiques © Papy Jipé et Mamy Christiane.

 


On commence par la sauce thaï. Elle est passée au chinois pour être bien lisse.
On joue sur le piment pourrégler sa pussance.
 


Les amandes effilées.
Attetion, cela va très vite.
Travaillez à feu doux
 


Le poulet émincé est rapidement sauté à la poêle
Surtout ne pas le cuire totalement.
Il deveint sec et dur


On termine le poulet dans le sauce


Les amandes légèrement tièdes
Ici le poulet est servi avec du choux chinois voir ICI

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BARBUCINE ET BARBE DE CAPUCIN 

Je ne suis pas féru d’histoire et comme la plupart des français ( du moins à ce que l’on dit), j’ignore la géographie et réciter la liste des dates et des événements qui s’y rattachent, ne sont vraiment pas ma tasse de thé.

Pourtant, j’aime bien savoir d’où viennent les produits que j’utilise.
J’aime bien savoir où et comment et par qui, ils ont été inventés ou découverts.
Alors, je suis bien obligé de faire confiance aux historiens.

Mais, qu’ils me pardonnent, quelque part, au fond de moi, je me pose souvent la question de savoir quelle est la part du hasard et quelle est la part de la démarche de recherche dans une découverte.

Prenons un exemple : le pissenlit.

Au printemps, les gens de ma région ont plaisir à chercher du pissenlit.
Il y a ceux qui saisissent un couteau et un panier et qui s’en vont, le nez par terre, à la recherche des jeunes pissenlits tendres, dans les prés.
C’est une première méthode.

Il en existe une autre, un peu plus confidentielle.
Je vais vous l’expliquer.

En automne, les agriculteurs qui travaillent « à l’ancienne» retournent leurs champs en grosses mottes. Ils comptent sur le froid, pour venir faire éclater ces mottes et les transformer en terre plus fine, facile à travailler.
Au printemps, ils n’ont plus qu’à passer la herse pour ratisser avant de semer.
Retourner la terre une nouvelle fois, serait perdre l’humidité précieuse qu’elle a accumulée.

Et bien, pour en revenir à nos chercheurs de pissenlit, il existe des gens qui se promènent le long des champs labourés grossièrement. De temps en temps, ils se baissent pour creuser et mettre à jour, une racine de pissenlit qui s’est mise à produire du feuillage.
Abrité de la lumière, ce feuillage est blanc ou jaune et tendre à souhait.

Alors pour en revenir à mon interrogation

Le blanchissage, on dit aussi l’étiolement, est-il du au hasard ?
Ou alors, un esprit malin aurait-il extrapolé un phénomène naturel  pour en faire une technique ?

 

Et par delà, cette technique rudimentaire, n’a-t-elle pas été poussée encore plus loin pour donner naissance à la technique du forçage « à chaud » ?

Voilà une question pour les historiens.

Anecdote :

Quand je suis « monté» m’installer dans le ch’Nord, je me suis tout d’abord arrêté dans la région lilloise.
Au Sud de Lille, du côté d’Orchies, j’ai vu des drôles de petites cheminées en fer blanc qui fumaient en plein champ.
Renseignements pris, j’ai appris que j’étais dans le pays de l’endive, du chicon, comme ils disent là-bas.
On avait cultivé des chicorées de la variété Witloof .
En automne, on regroupait les racines de ces chicorées en ayant pris soin de couper les feuilles sans blesser le collet.
Mises en terre, ces racines continuaient leur croissance, rapidement ou lentement selon la température.( d'où les petites cheminées).
Les racines produisaient des feuilles qui formaient une sorte de quenouille blanche avec quelques traces jaunes : le chicon.

 
A l’époque, la production des endives était saisonnière.
Une fois les racines épuisées, la saison des endives prenait fin.

Puis les choses évoluèrent.
On découvrit qu’il était possible de maintenir au froid les racines pendant de nombreux mois.
Pour les « réveiller », il suffisait de les mettre les unes à côté des autres dans des bacs, et de leur donner ce qu’elles attendaient avec impatience, de l’eau  et de la chaleur, le tout, non  pas dans le noir absolu, mais dans un local éclairé par une lampe de couleur verte.

Voir le reportage que j’ai fait à Warhem en Flandre maritime.
Cliquez ICI

 

Les choses évoluèrent très vite, car on se rendit compte que bon nombre de salades de la famille des chicorées, du pissenlit et autres salades radicchio originaires d’Italie se laissent « forcer » de la même manière.

DANS LE JARDIN FAMILIAL :

Le jardinier amateur peut très bien maîtriser cette technique de forçage.
On peut mettre les salades dans des bacs avec un peu de terre légère.
Il faut les arroser, mais sans excès.
Il faut les mettre dans le noir.
Si vous ne possédez pas de pièce noire, mettez un sac poubelle noir sur votre bac pour créer un noir artificiel.
Il est également possible de travailler dans des barils de lessive avec couvercle, que l’on peut mettre au côté d’un radiateur.

Si vous prenez  soin de ne pas blesser le collet quand on récolte, il est possible de récolter plusieurs fois de suite aussi longtemps que la racine contient des éléments nutritifs.

Cette technique me permet de manger de la salade jusqu’à mi-février alors que dehors règne le froid.

BARBUCINE : une nouvelle venue

D’après les indications publicitaires, la salade dite "Barbe de Capucin" remonterait à 1630.
Possible, je n’en sais rien.
Actuellement, on trouve sur les marchés de la « barbucine » qui n’est autre qu’une variante de barbe de capucin avec des feuilles un peu plus larges et des tiges plus longues. Les tiges sont comestibles, à condition de les couper en rondelles, pas trop épaisses.

La barbucine me paraît un peu fragile.
Elle présente vite des traces brunes dues aux chocs qu’elle subit.
Conservez-là au réfrigérateur, juste quelques jours.

En gros, la barbucine rappelle de très près le barbe de capucin en plus épais.
Toutes ces salades sont les bienvenues en hiver pour leurs apports de produits frais.
On les utilise donc essentiellement en salade.
Ceci n’empêche pas de les cuire avec une pointe de vinaigre balsamique noir par exemple et d’en garnir des tartelettes…

SALADES QUE JE  « FORCE » REGULIEREMENT :

– la chicorée Witloof  qui donne des endives.
– la chicorée rouge de Vérone.
– la chicorée Trévise.
– le pissenlit qui donne le barbe de capucin.
– le radicchio di Castelfranco très esthétique

en essai 

– la chicorée Pala Rossa
– les endives à bord rouge.

Du travail oui !
Mais aussi du plaisir.

COMMENTAIRES DU CHEF :

Le "do it your self". le faites le vous mêmes, a le vent en poupe.
On constate que les gens sont de plus en plus motivés, non seulement de manger des produits sains, mais également de les produire, quand ils le peuvent.
Récemment la télévision a montré les jardins potagers installée sur les toits de certains grands restaurants parisiens.

Cela a surtout le don de m'amuser et de me rappeler que  la grande majorité des français vont au super marchés pour acheter leurs fruits et légumes.
Et l'on costate qu'ils chosissent les plus beaux, les plus réguliers ce qui montre bien qu'ils n'ont pas compris grand chose ou alors qu'il ne sont que de simples victimes de shèmes de pensées que la publicité leur à mis dans la tête.
Moi, quand je suis devant un pommier, je trouve tout à fait normal qu'il porte des pommes de tailles différentes et même qu'il y a des pommes qui contiennent des vers.
Que voulez-vous, les vers ne sont pas fous. Quand ils sentent que la pomme est bourrée de produits chimiques, ils vont voir ailleurs.
Produire dans son jardin est une bonne chose.
Cela occupe sainement les gens à condition toutefois quils ne veulent pas se lancer dans la concurrence avec ceux dont le métier est de produire en quantité des légumes clonés les uns aussi beaux que les autres, des légumes souvent sans goût, mais qui vous le rendent bien.
Vous avez des produits chiques pour votre argent.

Produire soi-même c'est se rapprocher de la terre de la Nature qui compte des petits et des grands, des maigres et des gros, des souriants et des pleurnichards.
Allez demander à Monsieur Gauss qui en a fait tout une cloche !.

Le bon sens près de chez vous. 
Non ?

Illustrations photographiques © Papy Jipé et Mamy Chritiane.


Barbe de capucin dans ma cave.


J'ai semé du pissenlit et j'ai récolté les racines.



Je les ai mises dans des caisses dans le noir.
On peut obtenir jusqu'à 3 récoltes si on ne blesse pas le collet et à condition de ne pas les noyer en arrosant de trop

 


La barbucine : nouvelle venue


Il faut la manger rapidement


Un peu fragile à mon goût.


Bonne en salade mais on peut aussi la cuire.


Les tiges sont longues et heureusement comestibles à codition de les couper en rondelles fines.


The combine !
Quand on ne dispose pas d'une pièce noire, alors on créé du noir artificiel
Fallait juste y penser


Différentes salades que je force.


Il y en a pour tous les goûts et toutes les couleurs.

Trévise et rouge de Véronne tout y passe.

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